AMORCE
AMORCE
Rassemblant plus de 1000 adhérents (communes, intercommunalités, conseils départementaux, conseils régionaux, entreprises, fédérations professionnelles et associations) pour 60 millions d'habitants représentés, AMORCE constitue le premier réseau français d'acteurs locaux d'information, de partage d'expériences et d'accompagnement des décideurs en matière de politiques Energie-Climat des territoires (maîtrise de l'énergie, lutte contre la précarité énergétique, production d'énergie décentralisée, distribution d'énergie, planification), de gestion territoriale des déchets (prévention, collecte, valorisation, traitement des déchets) et de gestion du cycle de l'eau.
Force de proposition indépendante et interlocutrice privilégiée des pouvoirs publics, en partenariat étroit avec les institutions et en particulier l'ADEME, AMORCE est aujourd'hui la principale représentante des territoires engagés dans la transition énergétique et l'économie circulaire. Créée en 1987, elle est largement reconnue au niveau national pour sa représentativité, son expertise et ses solides compétences, qui lui valent d'obtenir régulièrement des avancées majeures (TVA réduite sur les déchets et sur les réseaux de chaleur, création du fonds chaleur, éligibilité des collectivités aux certificats d'économie d'énergie, création des filières de responsabilité élargie des producteurs sur les meubles, généralisation des plans climat, etc.).
Porte-parole des associations de collectivités territoriales dans la défense des intérêts des acteurs locaux, elle a également joué un rôle majeur dans l'élaboration de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte ou précédemment des lois relatives au Grenelle de l'environnement.
Défendant le point de vue des collectivités sur les déchets, l'eau, l'énergie et les réseaux de chaleur, AMORCE a contribué à obtenir l'injection du biogaz dans le réseau en participant au groupe de travail piloté par la DGEC et en proposant des amendements à l'origine de l'intégration de cette disposition dans la loi Grenelle 2.
AMORCE est également à l’origine de la prise en compte des investissements participatifs tels que prévu dans l’article 119 de la loi de transition énergétique pour la croissance verte, dispositif qui a été repris et appliqué dans l’appel d’offres biomasse de 2016.
La triple compétence d'AMORCE "déchets-énergie-eau" lui permet d'avoir une vision globale sur le sujet.